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Affaire Ouandié : Gaston Kelman interpelle les médias et condamne la recherche du buzz à tout Prix

Le cas Ouandié reste un sujet de controverse, récemment, c’est l’auteur et essayiste Gaston Kelman qui manifeste son indignation. Kelman, profondément perturbé par les événements récents, a fait appel aux médias qu’il accuse de favoriser le sensationnalisme au lieu de l’éthique journalistique.

Dans une atmosphère de plus en plus controversée autour du cas Ouandié, Gaston Kelman a souligné l’importance d’une responsabilité des médias. D’après son point de vue, quelques organes de presse tentent de provoquer des tensions en manipulant des thèmes délicats afin d’augmenter leur audience, sans prendre en compte les répercussions sociales et politiques. « Je partage son opinion concernant la réaction par la violence physique ou les menaces. » « Définitivement pas ! », a affirmé Kelman, exprimant une position qu’il partage avec d’autres critiques. Il souligne que la réaction la plus appropriée face à l’ignominie, souvent décrite comme liberté d’expression, doit être pédagogique et véhémente, mais avant tout verbale.

Selon Kelman, il est crucial de favoriser le dialogue et la discussion plutôt que la violence ou les menaces. « On doit répondre à l’ignominie par des idées, des mots et des faits. La violence ne fait qu’aggraver les situations et masque les véritables problèmes », a-t-il complété. Cette déclaration se fait dans un contexte de tension, où les discussions autour de l’affaire Ouandié divisent l’opinion publique. Les médias, fréquemment critiqués pour leur penchant au sensationnalisme, occupent une place centrale dans la façon dont ces discussions sont perçues et intensifiées. Kelman plaide donc pour une couverture médiatique plus responsable, favorisant l’information factuelle et équilibrée au lieu de la quête du sensationnel à tout prix.

L’auteur a également mis l’accent sur la nécessité de protéger la liberté d’expression, tout en soulignant que cette liberté implique des responsabilités. « Le droit à la liberté d’expression est essentiel, toutefois il ne doit pas être utilisé comme un moyen de diffuser la haine ou de véhiculer de fausses informations », a-t-il affirmé. Pour conclure, Gaston Kelman appelle les journalistes, le public et les intervenants politiques à adopter une attitude plus constructive dans la gestion de l’affaire Ouandié. D’après lui, c’est en favorisant la discussion et en esquivant les dangers du sensationnalisme que l’on pourra calmer les tensions et progresser vers des résolutions pérennes.

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