En matière de sextoys, il y’en a pour tous les goûts : strap on, vibromasseur, canard vibrant, godemiché, boules de geisha et accessoires coquins en tout genre.
Chaque femme peut s’en procurer facilement et les utiliser aisément en fonction de ses attentes.
Certaines femmes affirment même que ces jouets sexuels les comblent entièrement. D’autres avouent que grâce à eux, elles peuvent désormais se passer d’hommes.
Cependant, un nombre non négligeable de sextoys renferme des substances toxiques, comme l’a notamment démontré l’étude menée par une association de consommateurs allemands en 2019. Sur dix-huit produits testés, cinq « étaient lourdement chargés de substances nocives pour la santé », telles que le nickel, les phénols, les hydrocarbures aromatiques et surtout les phtalates, des composants présents dans la grande majorité des plastiques, classés cancérigènes et susceptibles de causer infertilité ou malformations congénitales.
Selon eux, les sextoys contiendraient une grande quantité de produits chimiques souvent utilisés pour assouplir le plastique.
En les utilisant, les femmes s’exposeraient donc à diverses maladies telles que diabète, stérilité, obésité ou même cancer.
De plus, En cas d’infection, si le jouet passe d’un partenaire à l’autre sans avoir été nettoyé, la transmission de l’infection est d’autant plus facile. C’est également le cas si la personne souffre d’une infection et qu’elle l’utilise à nouveau sans l’avoir préalablement lavé.
Sur le plan psychologique, les risques de devenir addict à ces jouets sont énormes surtout que certaines femmes arrivent à ne pas atteindre le plaisir sexuel avec un partenaire et à le découvrir avec un stimulateur clitoridien.
En conclusion Les sextoys peuvent transmettre des maladies infectieuses, mais seulement si on les utilise sans prendre les précautions d’hygiène nécessaires, à savoir les nettoyer correctement à l’eau tiède et au savon avant et après toute utilisation et éviter de les partager.